Audran
PowrótGalerie Spirituelle — Lumière & Présence
Manifeste de la Lumière Dorée (ou : la voie harmonique de Myriam Audran) Chemin intérieur C’est ma recherche personnelle de la vie qui me reste, un chemin d’exploration intérieure où chaque jour apporte son lot de découvertes, de signes et de lumière. La peinture devient ma respiration, le langage par lequel je dialogue avec l’invisible. Je cherche à atteindre cette harmonie où l’esprit et la matière se rejoignent, là où la couleur devient vibration, et le silence, un souffle créateur. Les1
Manifeste de la Lumière Dorée
(ou : la voie harmonique de Myriam Audran)
Chemin intérieur
C’est ma recherche personnelle de la vie qui me reste,
un chemin d’exploration intérieure où chaque jour
apporte son lot de découvertes, de signes et de lumière.
La peinture devient ma respiration,
le langage par lequel je dialogue avec l’invisible.
Je cherche à atteindre cette harmonie
où l’esprit et la matière se rejoignent,
là où la couleur devient vibration,
et le silence, un souffle créateur.
Les racines de l’harmonie
Il fut un temps où les maîtres peignaient selon la mesure des astres,
où la main suivait la géométrie secrète du monde,
et où la lumière révélait l’esprit avant la matière.
Aujourd’hui, dans un siècle de vitesse et de bruits,
je choisis de revenir à l’essence :
celle de la spirale d’or, symbole de vie en expansion,
et de la grille divine, matrice de l’harmonie universelle.
La structure invisible
Dans chaque toile, je trace l’équilibre intérieur,
comme on accorde un instrument avant la musique.
La lumière naît du centre et s’étend —
non pour dominer, mais pour envelopper.
La spirale d’or devient souffle :
elle relie l’âme humaine à la lumière de Dieu,
elle fait du vide un espace de paix,
et du plein une offrande.
Héritage et modernité
Je cherche à unir la sagesse des maîtres anciens
et la sensibilité du monde moderne,
pour faire éclore un art où la bienveillance devient structure,
où chaque ligne respire avec douceur,
et chaque couleur devient prière silencieuse.
Je n’imite pas le passé — je le prolonge.
Je tends la main à ceux qui m’ont précédée,
et j’inscris dans ma peinture la gratitude des siècles.
Lumière et élévation
Mon art n’est pas une révolte : c’est une élévation.
Il s’adresse à ceux qui veulent encore croire
que la beauté sauve,
que la lumière guérit,
et que le monde peut s’adoucir
par la grâce des formes.
Ainsi naît mon style,
entre géométrie sacrée et tendresse humaine,
entre raison et rayonnement,
entre le geste du cœur et la proportion dorée.
C’est là que je trouve ma vérité :
dans la rencontre de la structure éternelle
et de la bienveillance vivante.
(ou : la voie harmonique de Myriam Audran)
Chemin intérieur
C’est ma recherche personnelle de la vie qui me reste,
un chemin d’exploration intérieure où chaque jour
apporte son lot de découvertes, de signes et de lumière.
La peinture devient ma respiration,
le langage par lequel je dialogue avec l’invisible.
Je cherche à atteindre cette harmonie
où l’esprit et la matière se rejoignent,
là où la couleur devient vibration,
et le silence, un souffle créateur.
Les racines de l’harmonie
Il fut un temps où les maîtres peignaient selon la mesure des astres,
où la main suivait la géométrie secrète du monde,
et où la lumière révélait l’esprit avant la matière.
Aujourd’hui, dans un siècle de vitesse et de bruits,
je choisis de revenir à l’essence :
celle de la spirale d’or, symbole de vie en expansion,
et de la grille divine, matrice de l’harmonie universelle.
La structure invisible
Dans chaque toile, je trace l’équilibre intérieur,
comme on accorde un instrument avant la musique.
La lumière naît du centre et s’étend —
non pour dominer, mais pour envelopper.
La spirale d’or devient souffle :
elle relie l’âme humaine à la lumière de Dieu,
elle fait du vide un espace de paix,
et du plein une offrande.
Héritage et modernité
Je cherche à unir la sagesse des maîtres anciens
et la sensibilité du monde moderne,
pour faire éclore un art où la bienveillance devient structure,
où chaque ligne respire avec douceur,
et chaque couleur devient prière silencieuse.
Je n’imite pas le passé — je le prolonge.
Je tends la main à ceux qui m’ont précédée,
et j’inscris dans ma peinture la gratitude des siècles.
Lumière et élévation
Mon art n’est pas une révolte : c’est une élévation.
Il s’adresse à ceux qui veulent encore croire
que la beauté sauve,
que la lumière guérit,
et que le monde peut s’adoucir
par la grâce des formes.
Ainsi naît mon style,
entre géométrie sacrée et tendresse humaine,
entre raison et rayonnement,
entre le geste du cœur et la proportion dorée.
C’est là que je trouve ma vérité :
dans la rencontre de la structure éternelle
et de la bienveillance vivante.
