Cette création rend hommage à la femme solaire, vivante, vibrante
— une femme qui marche au rythme des marées, portée par les couleurs comme par une respiration profonde.
Dans ce texte chanté, chaque nuance devient mouvement :
les fleurs, les flammes, le vent des îles, la douceur du temps…
On y retrouve l’écho des maîtres qui ont nourri mon travail
— Matisse, Gauguin, Léger
— et la dimension cubiste et fauve qui traverse mes toiles.
lyrics
Femme en couleur
Dans l’élan de ma toile est née une femme,
Une silhouette tissée de fleurs… et de flammes.
Sa peau respire le sel, la mer, l’azur,
Et chaque couleur chante… l’âme des murs.
Le vent des îles caresse ses hanches,
Le temps s’étire, la lumière penche.
Dans la chaleur douce des jours lents,
Elle avance… comme un océan.
Elle vit, elle crie, elle danse,
Sous le soleil, chaque nuance devient présence.
Ce n’est pas un rêve, ni un reflet,
C’est une vérité en liberté.
Elle marche au rythme des marées,
Beauté saline, femme des îles sacrées.
Chaque fragment vibrant, c’est une respiration,
Une terre qui parle, une émotion.
Cubisme éclaté, fauvisme brûlant,
Elle se crée encore… dans le vent.
Ses couleurs roulent comme les vagues,
Ses lignes chantent… rien ne la fague.
Elle porte en elle les rires du soir
Et les parfums d’arbres noirs.
Elle vit, elle crie, elle danse,
Sous le soleil, chaque nuance devient présence.
Ce n’est pas un rêve, ni un reflet,
C’est une vérité en liberté.
Elle marche au rythme des marées,
Beauté saline, femme des îles sacrées.
Matisse murmure aux lignes en fête,
Gauguin s’élève… dans l’ombre discrète.
Léger résonne, pulsation profonde,
Et moi je trace… une femme-monde.
Dans ses couleurs bat l’écho du lagon,
Dans sa voix souffle l'horizon.
Ce n’est pas un simple portrait figé,
Mais un souffle, un feu, un monde incarné.
La femme devient forêt, rivière, secret,
Force sauvage… harmonie sacrée.
Et quand la mer enlace la terre,
Elle sourit… d’un éclat solaire.
Elle vit, elle crie, elle danse,
Chaque nuance devient présence.
Ce n’est pas un rêve, ni un reflet,
C’est une vérité en liberté.
Elle renaît au bord de l’océan,
Femme de lumière… femme du temps.
Dans ma toile, elle revient danser,
Encore, encore…
Libre comme la mer
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